NON à la suppression des techniciens informatiques dans les lycées agricoles ligériens !
NON à la suppression des techniciens informatiques dans les lycées agricoles ligériens !
Voici un courrier adressé à la DGER et à la DRAAF concernant la suppression des deux postes de TFR IBA (techniciens informatiques) dans la région des Pays de la Loire
A Laval, le 1er juillet 2017
A Monsieur P.VINCON, Directeur Général
A Madame C.LEBON, DRAAF des Pays de la Loire
Monsieur le Directeur Général,
Madame la Directrice Régionale,
Par la présente, nous tenons à vous alerter quant à la situation très inquiétante que nous vivons en région Pays de la Loire concernant le devenir des postes et des missions des TFR IBA dans les EPLEFPA ligériens.
Au LEGTA Bel Air de Fontenay le Comte, depuis de trop nombreuses années, l’absence de poste de TFR IBA sur l’établissement avait été compensée par un collègue sous statut d’assistant d’éducation (AE). La durée de son contrat arrivant dans sa 6e année, il n’a pas été possible statutairement de le reconduire sur cette mission. Outre le fait que ce choix amputait le service vie scolaire d’un ETP en AE, cette « solution » n’était évidemment pas pérenne. C’est ce qui se produira à la rentrée. L’établissement ne disposera donc pas d’un technicien informatique. C’est bien évidemment une situation que nous avons dénoncé à maintes reprises tant dans les instances locales que régionales, pour preuve, le boycott récent du conseil d’administration de l’établissement sans aucune réponse du SRFD.
Au LPA du Haut Anjou, le SRFD a décidé, unilatéralement, sans aucune concertation, de transformer le poste de TFR IBA en un poste d’enseignant TIM. A priori le SRFD aurait négocié la disparition de cette mission de l’établissement en faisant appel à l’entreprise DSMI pour qu’elle intervienne sur deux demies journée par semaine. Il en résulterait un périmètre d’intervention qui se limiterait uniquement au maintien du réseau et des serveurs, et ne s’occuperait absolument pas de l’appui des usagers du système d’information de l’établissement. Nous craignons ici très clairement une privatisation des activités de maintenance !
Tout ceci est proprement inacceptable ! (suite…)