Compte rendu de la rencontre de rentrée DRAAF/SRFD avec l’Intersyndicale FSU-CGT-SUD (20/9/18)
Pour commencer, nous avons dénoncé le fait que des agents (administratifs, enseignants…) déjà en poste, pour certains depuis plusieurs semaines, sont toujours sans contrat. CELA EST INACCEPTABLE !
A cette rentrée, il manque toujours des enseignants (3-4 postes) dans les établissements.
Grâce à notre mobilisation collective en région l’an passé nous avions obtenu que le contrat des AESH soient revus et établis sur 39 semaines. Mais à cette rentrée, leurs missions ne sont pas clairement établies et certains directeurs veulent étendre leurs missions à des actions administratives, de vie scolaire… Nous avons demandé que le SRFD rappelle la règle et fournisse une liste des tâches aux établissements.
Nous avons également rappelé que les délibérations votées en juin-juillet dernier concernant la régularisation de la situation 2017-2018, en lien avec la réglementation, des contrats des collègues AESH doivent être exécutées.
Pour ce qui est du dispositif d’individualisation, le SRFD a précisé que 80 % des demandes des HSE ont été satisfaites. L’arbitrage par établissement a été transmis la semaine dernière.
Un point effectifs n’a pu être réalisé lors de cette rencontre car tous les chiffres des établissements n’étaient stabilisés mais un recul des effectifs en filière générale apparaît clairement.
Pour ce qui est du dossier « 2e professeur principal », à notre demande, le SRFD a rappelé que le paiement pour l’année 2017-2018 interviendra en décembre 2018 et que le dispositif est évidemment reconduit pour cette année scolaire.
Pour ce qui est de la DGH, le «trou » de 3000 a été miraculeusement résorbé…la suppression de la classe à Nantes, les arrangements locaux qui induisent un non respect des référentiels, ont permis cette opération. TOUT AUSSI INACCEPTABLE !
NOTRE MOBILISATION DOIT SE POURSUIVRE ET PRENDRE FORME NOTAMMENT LE 9 OCTOBRE DANS LA RUE CONTRE TOUTES LES POLITIQUES DE REGRESSION SOCIALE ET LES ATTAQUES CONTRE LES SERVICES PUBLICS.