Mercredi 1^er mai 2024

Pour les libertés, nos revendications et le progrès social

En ce 1er mai, rejoignez-nous pour affirmer notre engagement en faveur des libertés, de nos revendications et du progrès social.

Le SNETAP-FSU et la FSU lancent un appel à la mobilisation lors de la journée internationale de lutte pour les travailleuses et travailleurs.

Ensemble, disons non à l’économie de guerre, au démantèlement de l’assurance chômage et au tri social. Exigeons une éducation publique de qualité et défendons le statut du fonctionnaire. Réclamons une économie de paix et le renforcement des services publics. Revendiquons des salaires, un point d’indice et des pensions dignes. Poursuivons la lutte pour l’égalité salariale entre les femmes et les hommes, ainsi qu’une retraite digne. Affirmons notre solidarité internationale avec les travailleuses et travailleurs du monde entier.

Ensemble, pour la défense de nos droits et de notre sécurité sociale, exigeons un meilleur vivre en toute égalité et fraternité.

Lien : SNETAP-FSU – Ni les actionnaires, ni les réactionnaires : un 1er mai pour les travailleurs et travailleuses

Lien : FSU – Agentes et Agents de la Fonction publique : toutes les raisons de manifester le 1er mai

Petit rappel du 1^er mai, fête des travailleurs et travailleuses

Le 1er mai, journée de lutte et de célébration des combats des salarié·e·s, rappelle l’histoire des mouvements ouvriers·ières et des revendications qui ont marqué le monde du travail. De la revendication de la journée de 8 heures aux États-Unis à la tragique manifestation de Fourmies (59) où neuf travailleurs ont perdu la vie, cette journée symbolise les luttes pour les droits des travailleurs et travailleuses.

Il est important de souligner que le 1^er mai est la fête des travailleurs et travailleuses, et non pas la fête du travail. La notion de fête du travail a été instaurée par le gouvernement de Pétain-Laval (improprement nommé Vichy), dans le cadre d’une récupération politique. Cependant, le 26 avril 1946, le gouvernement a officiellement reconnu le caractère chômé du 1^er mai, mettant fin à son instrumentalisation et rendant ainsi hommage aux travailleurs et travailleuses. Cette reconnaissance marque également la fin du régime de Pétain-Laval et le retour de cette journée à sa véritable signification pour les travailleurs et travailleuses.

Malgré cela, certains politiques continuent d’utiliser le terme de « fête du travail », ce qui reflète leur intention de dénaturer cette journée et d’aller à l’encontre des intérêts des travailleurs et travailleuses. En 1948, le 1^er mai est devenu un jour férié et chômé, symbolisant la reconnaissance officielle de son importance dans l’histoire sociale et ouvrière. »

Les mobilisations dans les Hauts-de-France

• Abbeville, 10h30, manifestation place du pilori suivi d’un apéro.
• Amiens, 10h00, départ des grilles de la hotoie pour une manifestation qui revient au village associatif pour le repas ( barbecue, frittes, crêpes , etc).
• Arras,
  • 9h30, manifestation Place de la Gare.
  • 10h à 20h, Grand’Place et Place d’Ipswich, 23^e salon du livre d’expression populaire et de critique sociale.
• Beauvais, 10h30, Place Jeanne Hachette.
• Boulogne-sur-Mer, 9h30, Bourse du Travail.
• Calais, 9h30 Hôtel de ville, départ défilé à 10h jusqu’à la bourse du travail (prise de parole et pot fraternel).
  
• Cambrai, 11h, Grand-Place.
• Douai, Place Carnot, rassemblement 9H30, défilé 10h.
• Laon
• Lille, 10h , Porte des Postes.
• Maubeuge, 10h à la stèle des 93 résistants.
• Saint-Omer, 9h30, gare.
• Saint-Quentin, 10h, rassemblement place Gracchus Babeuf.
• Soissons

• Valenciennes, 10h place d’armes

Cet article est susceptible d’évoluer jusqu’à la date du 1er mai 2024.