Aéroports de Paris : non à leur privatisation !

Soutenons le référendum ADP

Le projet de privatisation des aéroports de Paris est à l’opposé d’une véritable politique publique. Les finances de l’État pourraient être impactées de près de 170 millions d’Euros par an.

Ce projet de privatisation pourrait être la « porte ouverte » à d’autres projets de privatisation… et pourquoi pas l’Enseignement Agricole Public (EAP).

Avec 4,7 millions de signatures, nous pourrons obtenir un referendum d’initiative partagée (RIP). C’est pourquoi, en tant qu’agent·es des services publics et citoyen·nes, nous sommes tous concerné·es !…

Prendre quelques minutes (4 maximum) à l’occasion de ces vacances d’automne en ayant sa carte d’identité à proximité… et le geste citoyen est réalisé.
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Le lien vers le site du référendum d’initiative populaire :
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Le lien vers le dossier du SNETAP qui explique la démarche :
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Pour les secrétaires de section, une bonne idée issue de notre groupe de travail « Vigilance Privé » du mercredi 16 octobre 2019 dernier : organiser une HMI sur le sujet en salle informatique dans votre établissement.
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Ce n’est pas une pétition, mais une demande de lancer un référendum.
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Attention, nous sommes toutes et tous concerné·es, même si nous ne prenons pas l’avion. Car si le gouvernement privatise l’ADP, il aura des « ailes » pour privatiser d’autres secteurs. Déjà il y a la Française des Jeux, en discussion la gare du Nord à Paris et pourquoi pas l’enseignement agricole (en tout cas avec les réductions de moyens et les cadeaux au Privé, le gouvernement va dans ce sens).
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Réponse aux écologistes : il ne faut pas se tromper de combat. La privatisation de l’ADP ne réduira pas les vols, bien au contraire, la privatisation poussera à rentabiliser les lignes au maximum avec la nécessité d’amortir au maximum les avions d’ancienne technologie donc les plus polluants…
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Pour les premières et premier qui avaient tenté, sans succès, de soutenir le référendum ADP, la procédure est simplifiée. Il suffit d’avoir sa carte d’identité à proximité.
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Agent·es des services publics et citoyen·nes, nous sommes tous concerné·es !