CREA Grand Est (25 juin)
Étant donné le peu de latitude que l'on nous octroie et le manque de considération pour nos interrogations, nous avons décidé de boycotter ce CREA après la déclaration liminaire intersyndicale…
Étant donné le peu de latitude que l'on nous octroie et le manque de considération pour nos interrogations, nous avons décidé de boycotter ce CREA après la déclaration liminaire intersyndicale…
Ce 19 juin, au lendemain du CTREA, le CSR de la circonscription Champagne Ardenne s'est déroulé à la maison des syndicats de Chalons. Un point a été fait sur la…
Le CTREA de fin d’année s’est déroulé en deux phases, et ce, sur notre demande. En effet, comment traiter en 3h en visio, un Ordre du jour digne d’une journée complète ? A moins que ça ne soit que pour écouter sagement des informations ? Nous refusons que notre rôle soit celui d’une simple chambre d’enregistrement !
Lors du CTREA du 4, les aspects de structure et d’organisation liés à la crise sanitaire devaient être traité. Impensable pour nous d’effectuer une rentrée de cette fin d’année scolaire et surtout de la rentrée de septembre 2020 en improvisation totale !
Peu voire pas de réponse car tout ce qui entraine une augmentation de budget, c’est NON.
Concernant le CTREA du 18 juin la CGT-Agri et du SNETAP-FSU ont entamé l’instance par une déclaration préalable exigeant des réponses immédiates.
Étant donné que les autres OS ont également proposé des déclarations liminaires, 3h ont été nécessaires pour traiter ces points, et encore, de manière insatisfaisante, malgré la crise, l’objectif de SIBLE2022 et ses réductions drastiques de DGH sont toujours de mise…
Point d’empathie : Le privé ouvre des filières, le public doit se contenter d’innover mais à moyens constant. Nous sommes assimilé à un paquebot inflexible, mais qui induit ce manque de flexibilité, quand seules les modifications de structure à moyens constants sont envisageable ???
Aucune prise en compte des besoins inhérents à une rentrée particulière mis à part des HSE… Peut-on penser que les élèves vont bien supporter des heures supplémentaires de cours en plus d’un emploi du temps habituel souvent surchargé, pour palier à une interruption de plusieurs mois. Ne nous leurrons pas, malgré la formidable adaptation des équipes pédagogiques permettant d’assurer une continuité, cela ne remplace aucunement le cours en présentiel et du retard est forcément pris.
Concernant l’aide aux établissements en difficulté, notamment les CFA-CFPPA, aucune solution envisagée, les poches sont vides !
Tout ceci, y compris parce qu’on ne sait si seconde vague ou reconfinement il y aura, nécessite une anticipation qui est pour le moins absente : quelle frustration !
C’est avec un fort sentiment de déception, qu’au bout de 5h de visio, ce second CTREA s’est achevé.