Face à une situation sociale et économique critique, les syndicats et organisations de jeunesse se sont mobilisés pour la grève du mardi 1er octobre. Ils dénoncent les blocages des salaires, les menaces sur les retraites et la dégradation des services publics. Le gouvernement, dirigé par Emmanuel Macron, reste insensible aux revendications populaires malgré des politiques autoritaires et libérales déconnectées de la réalité. Toutefois, les récentes déclarations du Premier ministre sur une « contribution solidaire » des plus riches et des multinationales montrent que la pression monte. Ce 1er octobre ont lieu des discussions budgétaires à l’Assemblée.
Il est crucial d’exiger des salaires dignes, la défense des services publics et l’abrogation de la réforme des retraites.
(source : section Snetap-FSU des HDF et de Marseille)